Photo du personnage Brève biographie

Desmond Miles (1987 – 2012) est un individu né au sein de la petite communauté d'Assassins de "La Ferme",
dans le Dakota, aux États-Unis. C'est le protagoniste principal de Assassin's Creed à Assassin's Creed III.
Il revit les souvenirs de plusieurs de ses illustres ancêtres — Aquilus[1], Altaïr Ibn-La'Ahad, Ezio Auditore da Firenze,
Haytham Kenway et Connor Kenway — à différentes époques, grâce à une machine: l'Animus. Il est le fils de William Miles le Mentor de la Confrérie,
et sans le savoir il est le père d'Elijah un jeune Sages.

William "Bill" Miles (Né en 1948) est un Assassin des temps modernes,
le chef de la communauté appelée "La Ferme" ; et par conséquent un membre très important de la Confrérie.
Il a pris la tête de la Confrérie depuis la Grande Purge de l'an 2000 en tant que Mentor.
Il est resté émotionnellement distant de son fils, Desmond et a consacré sa vie à servir les idéaux de la Confrérie

Ezio Auditore da Firenze (1459 – 1524) était un noble florentin durant la Renaissance ainsi que le Mentor des Assassins italiens,
un titre dont il fut le détenteur de 1503 à 1513. C'est aussi un ancêtre de William et Desmond Miles, ainsi que de Clay Kaczmarek.
Né au sein de la famille Auditore, Ezio ignora l'héritage de sa famille jusqu'à l'âge de dix-sept ans, lorsqu'il fut témoin de la
pendaison de son père et de ses frères. Contraint de fuir son foyer avec les membres restants de sa famille, sa mère Maria et sa sœur
Claudia, il se réfugia dans la villa toscane de son oncle Mario.
Là, il fut mis au courant de l'héritage de la famille Auditore, et débuta son entraînement avant de se lancer dans une quête de vengeance
contre l'Ordre des Templiers et leur Grand Maître Rodrigo Borgia, instigateur du complot ayant coûté la vie à sa famille.

Giovanni est le père de Ezio.
Sous ses airs de riche banquier, Giovanni est en réalité un maître Assassin. Il a été élevé et entraîné avec son frère Mario.
Depuis l’âge de quinze ans environ, il se bat pour empêcher les Templiers d’avoir un pied à terre dans la région.
Cependant, la puissance des frères Assassins a faibli en faveur des Templiers au fil des ans. Toujours fidèles à leur crédo,
ils ont pourtant réussi à maintenir leur statut grâce aux progrès et à leur habileté au combat, qui ne se limitait jusqu'a présent
qu'à de petites escarmouches et des jeux de pouvoir mineurs.

La mère d'Ezio, Maria, est la fille d’une famille noble et nombreuse de Florence.
Précoce et intuitive, ses parents ont abandonné l'idée de la former à la haute société
et lui ont laissé démarrer sa propre boulangerie. Altruiste, elle adore interagir avec la population de Florence
—les vrais citoyens comme elle les appelle.

Fils aîné de la famille, Frederico, est rapide, intelligent et a un bon sens de l’humour.
Bien qu'il aime taquiner Ezio, il ne tolère pas qu'un étranger fasse de même.
Plus sage que son jeune frère, il a déjà entamé son entraînement d’Assassin avec son père.
Bien que cet apprentissage soit encore secret, Frederico ne rate pas une occasion de compléter l'expérience et le savoir de son frêre.

La plus jeune sœur de Ezio a été gâtée par son père lorsqu’elle était enfant.
Intelligente, elle n'en paraît pas moins immature à certains abords.
N'ayant jamais vécu d'évènement dramatique dans sa jeunesse dorée,
c'est vers Ezio qu'elle se tournera lorsque des évenements tragiques surgiront dans la famille.
Il se transformera en protecteur et sauveur à ses yeux.

Alors que Giovanni se concentre plus sur le camouflage et l’espionnage,
son frêre Mario l'était sur les missions armées et les manœuvres groupées.
Utilisé essentiellement pour se battre contre les intérêts des Templiers dans la région,
Mario reste toutefois entouré d'un groupe de fidèles mercenaires qui le suit au fil des années.
Les Templiers ayant intégré la noblesse de l’Italie, les combats semblent être les mêmes que d’habitude pour un observateur externe.

Lorenzo de' Medici (1449 – 1492), aussi appelé "Laurent le Magnifique",
était un diplomate italien, un homme d'État et un protecteur des Arts.
À l'âge de vingt ans, il hérita du contrôle de la République de Florence,
qui entrait alors dans son âge d'or. Sous son règne, Florence devint le centre de la Renaissance italienne
et accueillit de nombreux artistes comme Léonard de Vinci et Sandro Botticelli.
Secrètement, Lorenzo était allié aux Assassins et particulièrement de la famille Auditore.
Il collabora notamment avec deux de ses membres, Giovanni Auditore, qui était un de ses banquiers et son ami proche.
Lorsqu'il mourut, assassiné par les Templiers, Lorenzo s'allia avec son fils, Ezio, qui la sauva notamment lors de la conjuration des Pazzi,
un complot visant à l'assassiner. Lorenzo confia notamment plusieurs contrats d'assassinat dans différentes villes d'Italie.

Bartolomeo d'Alviano (1455 – 1515) était un Assassin, ainsi que le chef des mercenaires de Venise et de Rome.
Bretteur habile et loyale et doté d'une grande expérience en tant que meneur d'hommes,
Bartolomeo représentait un atout de taille pour la Confrérie.

Niccolò di Bernardo dei Machiavelli (Nicolas Machiavel) (1469 – 1527) était un philosophe et un politicien florentin,
ainsi qu’un membre de la Confrérie des Assassins. Considéré comme l'un des fondateurs de la philosophie moderne,
il était à la fois diplomate, homme politique, philosophe, musicien ou encore dramaturge mais était avant tout un fervent défenseur de la République florentine.

Leonardo di ser Piero Da Vinci (1452 – 1519) était un artiste et un scientifique de la Renaissance italienne.
Cette description peut cependant sembler terriblement réductrice, compte tenu de l’étendue de ses talents ;
il maîtrisait en effet la plupart des domaines connus de l’époque, l’anatomie, la sculpture, la cartographie,
la peinture, la botanique, l’ingénierie, l’architecture et les mathématiques n’avaient aucun secret pour lui.
De plus, il joua un rôle de la plus haute importance dans la lutte qui opposa les Assassins à l’Ordre des Templiers,
en demeurant l’ami et l’allié de l’Assassin florentin Ezio Auditore da Firenze.

Rodrigo Borgia (1431 – 1503) était un aristocrate espagnol qui devint
Grand Maître de l’Ordre des Templiers du Rite Italien et joua un rôle de premier plan dans l’Église catholique,
au point qu’il devint pape sous le nom d’Alexandre VI de 1492 à 1503.
Il est l’une des figures les plus controversées de l’Histoire de l’Église et restera toujours connu pour sa débauche et sa corruption.
Malgré sa réputation, Rodrigo demeura un fin politicien qui sut prospérer au cours des terribles luttes pour le pouvoir qui agitèrent l’Italie de la Renaissance italienne.

Il était à la tête de la famille Pazzi et de ses activités bancaires au moment du complot visant à conquérir par la force le pouvoir politique à Florence.
Cet homme attaché aux vieilles traditions avait demandé à récupérer ses titres de noblesse. Comme il était respecté dans la ville, il fut chargé de rallier le peuple à la cause des Pazzi.
Jacopo quitta Florence après l'échec de leur coup d'Etat et fut le conspirateur qui demeura en fuite le plus longtemps.

Francesco de' Pazzi (1444 – 1478) était un noble florentin et un Templier. Il était le neveu de Jacopo de' Pazzi et le père de Vieri de' Pazzi.
Il incita sa famille à s'impliquer dans la conjuration visant à conquérir le pouvoir à Florence au nom des Templiers. Fier de ses racines nobles,
Francesco voyait d'un mauvais œil la puissance montante des Medici. Il fut arrêté en 1476 grâce à l'Assassin Giovanni Auditore, mais son emprisonnement fut de courte durée.

Vieri de' Pazzi (1459 – 1478) était un membre du Rite romain de l'Ordre des Templiers et un opulent noble de Florence.
Vieri était membre de la haute noblesse florentine, et était le dernier né de la très influente famille Pazzi.
Il était le fils de Francesco de' Pazzi, le frère de Viola de' Pazzi, ainsi que le petit-neveu de Jacopo de' Pazzi.