Capitale de l'Ouganda, Kampala ne cesse de se développer depuis la fin de la guerre civile.
Représentation concrète de la réussite africaine, Kampala est une ville jeune et dynamique, cité de contraste où se côtoient modernité et héritage colonial britannique.
La ville de Kampala compte environ 1 208 544 habitants (estimation de 2002).
Avant l'arrivée des britanniques en 1860, Kampala était la capitale du Royaume du Buganda, gouverné par le roi Kabaka. Celui-ci avait choisi cette région pour qu'elle soit son terrain de chasse favori. Le territoire abritait de nombreuses antilopes, dont l'Impala.
Les britanniques ont rebaptisé la région "collines d'Impala" qui deviendra par la suite Kampala.
En 1881, des tombes kasubi sont édifiées sur la route de Masiro.Kampala remplace Entebbe en tant que capitale du pays en 1962 et une partie de la ville est détruite après la guerre contre la Tanzanie en 1978, puis par le renversement de la dictature d'Idi Amin en 1979 et la guerre civile qui s'en suit. Suite à cela, la ville est rapidement rebâtie
La ville de Kampala se situe au centre-sud de l'Ouganda, près du lac Victoria, le plus grand lac d'Afrique et le troisième du monde. La ville a été bâtie sur 7 collines, à une altitude de 1190 mètres en moyenne. Elle est composée de 5 quartiers. Sa superficie est de 195 km².
La ville de Kampala propose divers modes de transports, Bus, Taxi ou Location de voitures au choix.
Le bus : des minibus ou matatus sillonnent chaque jour le centre-ville. Le trajet est peu onéreux.
Le taxi : les motos-taxis ou boda-bodas sont disponibles 24 heures sur 24 et sont le moyen de transport le plus rapide.
La location de voiture : les agences de location aux enseignes internationales ou locales sont présentes dans le centre-ville de Kampala. La location de véhicule est assez coûteuse.
C’est toute une journée de route qui nous attend pour rentrer vers Kampala, la capitale ougandaise, depuis Bwindi.
Ce pays m’aura touché en plein cœur. Certes, il y a des obstacles au voyage en toute autonomie (l’état des routes),
ce n’est pas une destination bon marché (même si elle reste moins chère que certaines destinations africaines prisées) et ne parlons pas de la criminalisation de homosexualité. Il faut avoir de la patience, et accepter dès le départ que tout ne se déroulera pas comme on en a l’habitude en Occident. Il faut se rappeler que l’Ouganda est un pays en développement,qui plus est sortant d’une guerre assez récente et très franchement
les Ougandais peuvent être fiers du chemin déjà accompli. A côté de tout cela, nous y avons trouvé des paysages de cinéma (en fait, je suis persuadée que le Wakanda de Black Panther, c’est ici!), des montagnes, des savanes, des jungles
L'hospitalité est le meilleur personnage pour décrire les Ougandais, cela pousse les touristes à venir à la campagne, saison après saison.
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